Projet d'art participatif portant un regard personnel et collectif sur l'expérience de la pandémie. Atoll Art actuel. Les personnes participantes étaient invitées à accrocher leur bout de ficelle de laine à la grande vague statistiques de l'entrée et à rejoindre trois émotions vécues durant la pandémie. Si elles le souhaitaient, elles pouvaient les raconter à haute voix à l'artiste qui était là pour accueillir avec bienveillance ses récits de vie particuliers. Dans un deuxième temps, les personnes étaient invitées à décorer les masques de procédure par quelque chose qu'elles souhaitaient laisser comme réflexion, paroles ou cri du coeur à la suite de cette période difficile. Les masques ont ensuite été assemblées en une courtepointe sociale de l'ensemble des voix exprimées.
Le projet Pointes d'absolu a été réalisé par la MRC d'Arthabaska et la Ville de Victoriaville. Projet d'art participatif invitant les personnes participantes à écrire leurs aspirations personnelles ou collectives sur des pointes de drapeaux en vinyle.
1.1 Malgré la vie, s'élever et rêver! Tuyaux de PVC, tissu, fil, vinyle.
1.2 Personnes participantes
1.3 Verso de l'oeuvre "Malgré la vie, s'élever et rêver!". Les fils plus longs démontrant que la vie n'est pas une courtepointe parfaite, mais que les cicatrices peuvent marquer la vie tout en n'empêchant nullement de rêver et de devenir une meilleure version de soi-même.
Dessin numérique partant d'un dessin reçu d'une amie (les mains) et qui parle de la force des femmes de se libérer des contraintes ou de défoncer des plafonds de verre peut importe la culture où elles vivent.
Le projet artistique Champ libre a été organisé par la Ville de Victoriaville dans le Boisé des Frères à Victoriaville.
1.1 S'en sortir. Installation. Branches, laine, bûche. Vue de l'intérieur de la pinèdre.
1.2 S'en sortir. Vue du sentier.
Le projet artistique Les Fenêtres qui parlent a été organisé par la Ville de Victoriaville et Atoll Art actuel dans le cadre des Journées de la Culture. Les artistes sélectionnés pour l'événement doivent collaborer avec la personne habitant à l'adresse du jumelage. Les chaises de patio de la personne habitant dans le logement de jumelage ont été prises pour réaliser la performance. La performance consistait à ce que l'artiste accueille et regarde avec bienveillance et humanité les personnes participantes qui osaient prendre le risque de la rencontre en face de l'artiste. Celle-ci réagissait aux réactions des personnes et accueillaient avec ouverture toutes les émotions vécues. L'artiste portait sur elles un regard remplit d'humanité.
2.1 Prendre le risque de la rencontre. Performance. En attente du début de la performance.
2.2 Prendre le risque de la rencontre. Photo de la performance avec le public qui l'observe et qui y participe.
2.3 Prendre le risque de la rencontre. Durant la performance, les personnes présentes étaient invitées à écrire à la craie sur la rue ce qu'elles ressentaient, percevaient, vivaient de la performance et de la rencontre qui se déroulait sous leurs yeux.
2.4 Prendre le risque de la rencontre. Accolade avec une personne participante à la performance avec l'artiste.
2.5 Prendre le risque de la rencontre. Un des nombreux commentaires laissés par les personnes spectatrices de la performance.
Le projet artistique Les Fenêtres qui parlent a été organisé par la Ville de Victoriaville et Atoll Art actuel dans le cadre des Journées de la Culture. Les artistes sélectionnés pour l'événement doivent collaborer avec la personne habitant à l'adresse du jumelage. La personne habitant dans la maison est une passionnée des costumes de l'époque victorienne et a donc prêté deux robes sur mannequins pour l'événement. L'installation parlait de notre humanité, point commun de chacune des personnes sur Terre. Il vaudrait mieux "apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots" disait Martin Luther King. Cette phrase était d'ailleurs peinte avec une peinture qui brille dans le noir sur le trottoir en face de la maison et visible de soir seulement.
1.1 Humanitude. Installation. Lettres en feutrine.
1.2 Humanitude. Installation. Lettres en feutrine, robe d'époque, mannequin.
1.3 Humanitude. Installation vue de nuit avec rétroéclairage.
Exposition solo présentée à la Maison créative et rurale Armand Vaillancourt à Plessisville, Québec. Quelques pièces de cette exposition sont classées par année de création et ne se retrouvent pas dans cet album
2.1 Piège de cristal. Papier collant, coussin.
2.2 Dow Jones et Cie. Contreplaqué, clous, laine.
Projet "Se croire à l'abri" réalisé par le Centre d’art Jacques-et-Michel-Auger à Victoriaville au Québec. Lieu présentant l'oeuvre extérieure "Se croire à l'abri" de José Luis Torres dans le cadre de la Biennale nationale de sculpture contemporaine du 29 juin au 25 août 2018. Le Centre d'art a invité quelques artistes pour tenir une activité de médiation culturelle avec des personnes du public sur le thème de l'oeuvre extérieure de Torres. Les personnes devaient apporter leurs couleurs sur des carrés de bâches qui sont reliés ensemble sur une tente précaire et ajourée laissant douter de l'efficacité de l'abri contrastant avec la solidarité nécessaire à la construction de ce même abri.
3.1 Tente solidaire. Vue de l'entrée.
3.2 Tente solidaire. Bois, bâche en vinyle, techniques mixtes. Vue d'un côté.
3.3 Tente solidaire. Bois, bâche en vinyle, techniques mixtes. Vue de l'autre côté.
Exposition solo présentée à la Galerie Debout du Cégep de Thetford Mines. Réflexion sur les murs que nous construisons tant géopolitiques que sociaux.
1.1 Entre toi et moi. Installation. Boîtes de déménagement, velcro, tuyaux de carton, fil de fer, cravates.
1.2 Femmes symboles- Femmes trophées. Impression de linoléum sur canevas, encre.
Oeuvre réalisée à partir d'étiquettes de fruits et de légumes. Les étiquettes ont été récoltées sur une période d'un an avec la contribution d'une vingtaine de ménages qui ont répondu à l'appel à tous lancé dans le journal La Nouvelle-L'Union. Environ 3300 étiquettes ont été ainsi conservées et remises à l'artiste. Cette dernière a calculé les distances de la capitale des pays indiqués sur les étiquettes (sachant fort bien que les aliments sont produits plus loin) jusqu'à Montréal et ensuite jusqu'à Victoriaville. C'est ainsi une distance équivalent à 40 fois le tour de la Terre qui est contenue dans une portion de la consommation de fruits et de légumes d'une vingtaine de ménages de la région de Victoriaville. Cette oeuvre, composée de la moitié des étiquettes, a été présentée au Forum Social Mondial de Montréal en 2016. Elle a été exposée au Montréal Arts Interculturels (MAI) et ensuite au Forum mondial de l'Économie sociale à SAT Montréal.
Code PLU 4248. Techniques mixtes sur canevas.
Oeuvre envoyée pour la 3e édition de l'événement d'art postal Les Écornées de Warwick. Même si l'oblitération n'est pas visible, elle a bien voyagée par la poste comme il se doit! Oeuvre inspirée par les bombardements en Syrie et le déplacement de réfugiés syriens jusqu'au Québec.
2.1 Bombardés. Pyrogravure et gravure sur bois.
2.2 Bombardés. Pyrogravure et gravure sur bois. Texte de la carte postale.
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